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Nouvelle génération de cinéastes: projets collectifs, productions indépendantes

PFC’E 2015 fait une large place à la nouvelle génération de cinéastes palestinien-ne-s qui, pour donner force à leurs projets, s’organisent en collectifs. Ils mettent leur expérience technique et leur sensibilité artistique à disposition de nouveaux projets. Ils n’hésitent pas à questionner le système de production cinématographique qui pèse sur le travail des artistes palestinien-ne-s.

  • La plupart des films palestiniens sont des coproductions internationales avec des budgets de millions de dollars. « Dans un pays qui dépend de l’aide étrangère pour équiper ses hôpitaux, ce mode de production est-il acceptable? »  (Muayad Alayan).
    En Palestine, il existe de nouveaux collectifs de production qui réunissent des talents d’horizons différents, utilisant les nouvelles technologies. Quels sont les avantages de cette démarche? Quelle(s) alternative(s) construire?
  • Les Printemps arabes ont suscité un regain d’intérêt des festivals et producteurs étrangers pour les cinémas arabes. L’actualité –drame ou révolution– ou les modes (femmes, peuples indigènes…) ouvrent-elles ou ferment-elles le robinet de l’argent ?
  • L’intérêt des financiers pour les cinémas iranien, afghan, tunisien, égyptien… représente-t-il pour vous, cinéastes palestiniens, une concurrence? Ou stimule-t-il votre ingéniosité?

Les diverses expériences de nos invité-e-s garantissent un débat animé.

Table ronde animée par Riccardo Bocco.

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